76. Mayo 8/2012 - La planete sauvage - 1973 - Francia - Dir: René Laloux

Synopsis

Sur la planète Ygam vivent les Draags, une espèce d'humanoïdes mesurant douze mètres de haut. Ils ont atteint les plus hauts sommets de la connaissance. Leur existence s’écoule lentement, tout entière tournée vers la méditation.
Les enfants des Draags raffolent de minuscules animaux familiers, les Oms, ramenés d'une lointaine planète dévastée, Terra. Peu de Draags envisagent les Oms comme des créatures intelligentes, même s’ils sont doués d'une faculté d’adaptation certaine. Certains Draags considèrent même cette espèce comme nuisible, car si les Oms de luxe font la joie des petits, les spécimens qui s’échappent et retournent à l’état sauvage tendent à proliférer dans les parcs et endommagent les installations des Draags.

Ficha imDb: La planete sauvage.

Presentada por: Alejandro Arango Agudelo.

1 comentario:

  1. Titre original La Planète sauvage
    Réalisation René Laloux
    Scénario René Laloux et Roland Topor d'après le roman de Stefan Wul
    Sociétés de production Les films Armorial (Paris), Service de la recherche ORTF (Paris), Československý Filmexport (Prague)
    Pays d’origine France,
    Tchécoslovaquie
    Genre Aventure, science-fiction
    Sortie 1973
    Durée 72 minutes

    Synopsis

    Sur la planète Ygam vivent les Draags, une espèce d'humanoïdes mesurant douze mètres de haut. Ils ont atteint les plus hauts sommets de la connaissance. Leur existence s’écoule lentement, tout entière tournée vers la méditation.
    Les enfants des Draags raffolent de minuscules animaux familiers, les Oms, ramenés d'une lointaine planète dévastée, Terra. Peu de Draags envisagent les Oms comme des créatures intelligentes, même s’ils sont doués d'une faculté d’adaptation certaine. Certains Draags considèrent même cette espèce comme nuisible, car si les Oms de luxe font la joie des petits, les spécimens qui s’échappent et retournent à l’état sauvage tendent à proliférer dans les parcs et endommagent les installations des Draags.

    Alejandro Arango Agudelo

    ResponderEliminar